Vous êtes-vous déjà interrogé sur l'impact de la mondialisation et des nouvelles technologies de l'information et de la communication sur la promotion des marques et des produits? Dans ce résumé du livre «Storytelling: Histórias que deixam marcas», nous abordons le fait de savoir comment le storytelling peut mieux toucher le public.
Adilson Xavier s'attarde sur des exemples de storytelling utilisés par de grandes marques, et sur la manière dont le storytelling en marketing a surmonté le boom de l'information.
Vous êtes enthousiaste et vous voulez savoir comment devenir un bon conteur pour mieux atteindre votre public cible? Continuez avec nous!
Le livre «Storytelling: Histórias que deixam marcas», aborde l'importance du storytelling (savoir raconter une bonne histoire) et l'importance du capital émotionnel pour que votre entreprise ait un différentiel dans la communication avec le public.
En se référant aux grands auteurs du domaine de la communication et du marketing, Adilson Xavier traite du concept de storytelling, donne des conseils pour améliorer la narration et présente également des cas de réussite qui ont utilisé cette technique.
Si vous souhaitez améliorer votre capacité à attirer l'attention et le public grâce à une bonne narration, profitez de cette lecture!
Adilson Xavier est un écrivain, publiciste, producteur, scénariste et réalisateur de films. Auteur de «Sobrevoando Babel», «O Atirador de Ideias» et du très remarqué «O Deus da Criação», il a également produit la mini-série «Spinoza», diffusée sur la chaîne GNT en 2015.
Parmi les nombreux prix et postes qui jalonnent la trajectoire professionnelle de Adilson, nous soulignons sa performance en tant que:
Ce livre est indiqué pour les annonceurs, les professionnels de la gestion et du marketing, les producteurs de contenu et les personnes qui veulent améliorer leur narration.
Les principales idées défendues dans ce livre sont les suivantes:
Allons-y?
Dans ce chapitre introductif, Adilson présente trois définitions originales du storytelling et cite l'espagnol Antonio Núñez, qui présente la quatrième définition.
L'auteur souligne ici l'importance du thème sur la scène internationale, en prenant pour exemple les présentations du Festival international de la créativité 2014 à Cannes.
Selon Adilson Xavier, le storytelling est une pratique ancienne, mais dont la valeur a été revue à la hausse grâce aux technologies numériques et au marketing de contenu.
L'auteur explique que la mondialisation a révolutionné les moyens de communication, ce qui a un impact direct sur ceux qui travaillent à la présentation d'idées et de projets.
Dans ce contexte, deux forces qui se présentent généralement comme inverses se manifestent: l'excès d'informations et le manque d'attention. Adilson indique que, pour résoudre la crise de l'attention, il est nécessaire de travailler avec le capital émotionnel.
Il est courant d'avoir l'impression de manquer de temps, car nous sommes confrontés à de nombreuses options de divertissement et à un grand volume d'informations, ce qui nous amène à consommer l'information de manière inattentive, à moins retenir ce que nous lisons et entendons et, par conséquent, à générer une crise de l'attention.
Le moyen suggéré par l'auteur pour surmonter cet obstacle est de comprendre comment les émotions motivent le consommateur, et selon lui, le meilleur moyen de motiver le consommateur est de raconter une bonne histoire.
Dans ce premier moment, on nous présente de grandes histoires et des conteurs de renom. Ici, Adilson Xavier illustre comment une narration bien menée est capable de décréter le succès ou l'échec d'une histoire.
Selon l'auteur, l'essence de l'histoire est ce qui reste, même si certains détails sont oubliés. Les grandes histoires sont éternelles. Et la cohésion est un élément fondamental pour qu'ils puissent se perpétuer.
Une bonne histoire doit être vraie. Et une histoire devient vraie lorsqu'elle est adéquate aux codes de l'univers qu'elle cherche à raconter, obéissant aux contextes temporel et spatial.
La première fonction d'une histoire est de divertir. Le lecteur doit être séduit dès le début de l'histoire. Elle doit être capable de l'émouvoir et de générer des sentiments d'identification avec ce qui est absorbé afin de garantir son attention.
Dans cette partie, nous sommes introduits dans l'univers créatif de grandes marques qui restent leaders dans leurs segments, en résistant aux changements venus de la mondialisation, grâce à la narration de bonnes histoires.
Adilson raconte le processus de création des premiers produits jusqu'au moment où les grandes marques cessent de les commercialiser et commencent à vendre des histoires et à en tirer un grand profit.
Il est possible de voir ici des exemples concrets de la manière dont la création de sens et une relation plus intrinsèque avec le consommateur sont déterminantes pour la pérennité d'une marque.
Les marques qui valorisent le facteur narratif finissent par vendre plus qu'un produit, elles vendent une expérience qui ajoute de la valeur au produit au-delà du matériel.
Prenons l'exemple de Coca-Cola: la marque émerge en tant que producteur et distributeur de boissons gazeuses, mais, alliée à la formule secrète de sa boisson gazeuse, elle commence à commercialiser des produits qui échappent aux normes de son segment, comme des vêtements, des ustensiles de cuisine et des fournitures scolaires.
Coca-Cola est également un sponsor important des championnats sportifs mondiaux. Il s'agit de la société qui assure la promotion de la tournée de la Coupe du monde de la FIFA, amenant l'artefact dans des centaines de pays, en plus d'être l'un des responsables de la création des campagnes des Jeux olympiques.
L'auteur mentionne également l'exemple de l'entreprise brésilienne Havaianas et sa trajectoire, passant d'un article populaire à un souvenir brésilien de renommée mondiale, gagnant des versions co-créées, notamment, avec la bijouterie H-Stern.
Dans cette troisième et dernière partie, nous recevons des conseils sur la manière d'appliquer ce qui a été présenté tout au long du livre pour devenir de bons conteurs.
Avec l'avènement de l'internet, toute personne possédant un téléphone mobile et connectée à un réseau est un producteur potentiel de contenu.
Les récits possibles sont nombreux: exposer sa vie personnelle et garantir sa visibilité sur les réseaux sociaux, tirer parti d'une entreprise, montrer au monde qui nous sommes, ce que nous aimons, qui nous aimons, etc.
Chaque fois qu'un nouveau média apparaît, on parle aussi de la menace d'extinction qu'il fait peser sur les anciens médias. Mais en réalité, les véhicules d'information et de communication coexistent.
Nous devons tirer parti de cette pluralité de médias, qui ont des audiences et une portée différentes, pour exploiter et diffuser nos histoires.
Tout comme les bonnes histoires, les marques ont des univers. Lorsque ces univers sont bien définis, il est facile d'oser communiquer avec le public au-delà des formes traditionnelles.
Les jeux sont également une forme de narration, et offrent une expérience unique d'interaction entre l'histoire et son consommateur.
Les auteurs, lorsqu'ils écrivent une œuvre, ont l'intention d'impliquer leurs lecteurs de telle sorte qu'ils se sentent partie prenante de l'histoire: ils s'identifient aux personnages, pleurent, rient, encouragent un certain dénouement et éprouvent de la colère envers le méchant.
Les jeux sont des récits où le joueur est celui qui détermine, en fonction des possibilités, ce qui se passe dans ce scénario. Le joueur est le personnage principal, celui qui sauve les jeunes filles, qui parie sur les courses de rue, qui tire, et qui interagit avec les autres joueurs, élaborant des stratégies pour gagner une bataille.
Les jeux offrent à leurs utilisateurs la possibilité de vivre une histoire, certes virtuelle, mais qui suscite des émotions réelles.
Le livre «Built to Last» de Carmine Gallo, présente les histoires de 37 personnes qui parviennent à inspirer les autres par les mots, en utilisant la technique du storytelling.
Dans le livre «De zéro à un», Peter Thiel donne le conseil suivant : lorsqu'il y a de la concurrence, les entreprises n'ont aucun pouvoir sur le marché. Ils doivent donc vendre leurs produits au prix régulé par le marché, sinon ils seront massacrés par la concurrence. Quand vous avez un monopole, vous faites les règles.
Enfin, dans le livre «Inside Steve's Brain», Leander Kahney affirme que l'une des causes du succès d'Apple est l'accent mis sur l'expérience utilisateur par Steve Jobs, qui considère l'utilisateur comme une priorité absolue.
Après avoir lu ce résumé du livre «Storytelling: Histórias que deixam marcas», vous allez certainement améliorer votre storytelling et apprendre à mieux prendre soin de votre marque, qu'il s'agisse de votre vie personnelle, exposée dans les réseaux sociaux virtuels, ou d'un produit.
Passons en revue quelques points que nous avons appris avec Adilson Xavier, sur la façon dont le storytelling peut faire une plus grande différence dans le marketing d'aujourd'hui:
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